Que peut-on souhaiter pour les salariés, les entreprises, et pour l’économie française ?
- Une baisse du chômage qui se confirme - malgré le mauvais chiffre de novembre – sachant que c’est la première préoccupation pour 74% des Français* : qui n’a pas un proche touché par le chômage, qui ne craint pas de perdre son emploi ?
- Moins de stress au travail, plus d’épanouissement au sein des équipes, dans les bureaux, les ateliers ; plus de dialogue social ;
- Une lutte contre les discriminations qui ne désarme pas !
- Concernant les recruteurs, des recherches de candidats moins difficiles, un récent sondage Manpower nous rappelle que 35% des entreprises ont des difficultés a trouver un cadre ;
Mais au-delà de ces vœux, n’est-il pas permis de demander plus, et de rêver un peu ? soyons un peu utopiques. On peut ainsi « rêver » d’une franche reprise de la croissance mondiale avec la clef, une redistribution en direction des salaires et du pouvoir d’achat !
Pour ma part, mon plus grand vœu est encore de faire vivre ce beau mot de « ressources humaines » en faisant vivre nos valeurs humanistes dans l’entreprise…